« Le voyage m'est nécessaire pour arriver à créer, à appréhender de nouvelles lumières et palettes de couleurs. J'aime être surprise et émerveillée d'un décor et tenter d'en tirer l'essence en une composition : je vois ça comme un challenge qui me stimule et m'épanouit », ajoute-t-elle. Baisés salés, coucher de soleil sur les plages d'Ipanema, cheveux nacrés, papillons de jeunesse... Toutes ces bribes de beauté vulnérable, d'où émane la beauté amère d'un temps disparu.
Extrait de l'article Juliette Simon : la beauté et l'amertume d'Ana Corderot - Fisheye Magazine
Rêveuse perpétuelle dotée d'une grande curiosité, je découvre la photographie en développant mes clichés en laboratoire lors de mes études de cinéma et photographie.
Quelques années et jobs plus tard, je décide de me consacrer à ma passion.Toujours entre rêve et réalité, mon univers s'articule autour des voyages et du rapport que l’on entretient aux souvenirs. Je travaille pratiquement uniquement à l’argentique : j’aime l'idée de transformer ce que l’on voit en objet - qu’on peut toucher et conserver.
Série photographique personnelle issue d'un travail de recherches réalisé lors d'une résidence collective à GAMUT - Bastion St Just à Lyon (69)
"Le passé -t-il une couleur?"
Souvent représenté en noir et blanc, le passé est rarement pensé sous le prisme de la couleur. Des camaïeux de blanc, de gris ou de noir. Pourtant, le passé a été tout d’abord un présent coloré, bien vivant.Cette série part de points de vue d’enfants : les questionner sur leur représentation chromatique au « vieux », aux vestiges, au monde qui les précédait.
Eux, pour qui « leur » passé n’existe presque pas, et pour qui « le » passé est une notion abstraite. Qu’est ce que cela leur évoque? Et quelle couleur comme représentation, référence? Le vert de la guerre, le rouge des produits vite consommés, vite oubliés, le bleu des vitraux d’églises…le passé peut finalement se cacher partout. Les ruines - et métaphoriquement, ce qu’il nous reste - subsistent en eux, en nous, par des traces, des détails. Ou des couleurs.
Développement d'une série photographique en cours
Les îles du Frioul, en face de Marseille. Parmi ses 150 habitants, Mélina, 7 ans, et Inès, 10 ans, sont les deux seules enfants vivants toute l’année là bas. Une enfance insulaire, un quotidien unique.
Sur cette aire d'autoroute, des êtres qui se croisent, qui prennent le temps d’un repas, d’une photo, ou d’un échange. Des familles, des retraités, des gens avec des chiens, des routiers. Et puis des confidences, des souvenirs qui remontent à la surface. Leur rapport au silence, à la solitude, à leur besoin de s’extraire et de retrouver un contact avec la nature.
“L’objectif est d’ouvrir un dialogue entre auteurs, professionnels et spectateurs afin d’échanger des regards sur les enjeux conceptuels, techniques, artistiques, scientifiques ou encore politiques que revêtent les démarches cinématographiques et photographiques”
Association Arrimage
Juliette a photographié notre journée de mariage. Les photos sont magnifiques, naturelles et Juliette a su capter toute l’ambiance et l’émotion de notre mariage.
Elle a répondu à toutes nos demandes en amont du mariage et nous a livré les photos très rapidement!
C’était parfait je ne peux que vous recommander Juliette.
Nous avons fait appel à Juliette pour notre mariage en Octobre 2023.
C’est une photographe extrêmement talentueuse, qui a un vrai sens artistique. Les photos transmises sont plus qu’incroyables.
Juliette a été notre prestataire coup de cœur. En plus de son talent, elle est extrêmement gentille, attentionnée et disponible!
Merci pour tout Juliette, tu es incroyable !
Juliette est une jeune photographe pleine de talents et de sensibilité
Elle est très à l’ écoute.
N’hésitez pas à faire appel à elle pour vos projets photos en solo, duo ou en famille
Elle saura créer pour vous de fabuleux souvenirs.
Très bonne idée cadeau pour anniversaire, se faire plaisir faire plaisir !!!